Depuis 2019 (et le 30e anniversaire du pacte de non-agression germano-soviétique), nous avons eu droit aux roulements de tambour sur la responsabilité soviétique décisive dans le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale et le succès foudroyant du Blitzkrieg à l’Ouest de l’Europe.

Sans parler des prestations de Jean Lopez, érigé en « grand historien » par Frédéric Taddeï dans « Interdit d’interdire » en mai 2020.

Une récente interview par l’association russe EOT-France m’a donné l’occasion d’un rappel historique sur les circonstances du fiasco de l’alliance de revers tripartite France-Grande-Bretagne-URSS (supposée renouveler l’alliance tripartite de 1914), fiasco si volontiers attribué à Moscou sous nos cieux.