Fin de partie
- il y a 9 ans
Mise en scène Pascal Dubois
Avec :
Mise en scène : Pascal Dubois
Daniel Crumb - Nagg
Pascal Dubois - Hamm
Camille Latteux - Clov
Anaïs Renaudie - Nell
Sénographie/lumières - Thomas Elsendoorn et Pascal Dubois
Assistant à la direction d’acteur – Daniel Crumb
Régie Générale et Chargé de Communication - Thomas Elsendoorn
Après En attendant Godot, ce deuxième volet de la trilogie Beckett met en scène quatre personnages, tous différents, tous reclus dans leur handicap.
Quatre solitudes se jouent des lois sociales.
Une fin de partie annoncée.
Mais jamais la volonté de représenter ne meurt.
« A l’issue des tragédies le pire est toujours sûr, mais avec Beckett il devient le principe régulateur de la scène. Loin de l’absurde désespérant dans lequel on l’a enfermé, son théâtre organise avec une exactitude mathématique la dégradation des identités humaines et langagières. Le pire dégage une présence minimum et active, celle de la voix et de la lumière, du regard et du tracé. L’exténuation infinie des possibles y offre l’épreuve d’une vibration inquiète entre une image qui sombre et une parole qui expire. »
Beckett ou la scène du pire, François Noudelmann, 1998
Partenaires : la Région Poitou-Charentes, le Conseil Général de la Charente, la SPEDIDAM, la Maison du Comédien Maria Casarès
Avec :
Mise en scène : Pascal Dubois
Daniel Crumb - Nagg
Pascal Dubois - Hamm
Camille Latteux - Clov
Anaïs Renaudie - Nell
Sénographie/lumières - Thomas Elsendoorn et Pascal Dubois
Assistant à la direction d’acteur – Daniel Crumb
Régie Générale et Chargé de Communication - Thomas Elsendoorn
Après En attendant Godot, ce deuxième volet de la trilogie Beckett met en scène quatre personnages, tous différents, tous reclus dans leur handicap.
Quatre solitudes se jouent des lois sociales.
Une fin de partie annoncée.
Mais jamais la volonté de représenter ne meurt.
« A l’issue des tragédies le pire est toujours sûr, mais avec Beckett il devient le principe régulateur de la scène. Loin de l’absurde désespérant dans lequel on l’a enfermé, son théâtre organise avec une exactitude mathématique la dégradation des identités humaines et langagières. Le pire dégage une présence minimum et active, celle de la voix et de la lumière, du regard et du tracé. L’exténuation infinie des possibles y offre l’épreuve d’une vibration inquiète entre une image qui sombre et une parole qui expire. »
Beckett ou la scène du pire, François Noudelmann, 1998
Partenaires : la Région Poitou-Charentes, le Conseil Général de la Charente, la SPEDIDAM, la Maison du Comédien Maria Casarès