Les Balançoires , Trilogie de l'intime / chapitre DEUX - EXTRAITS
- il y a 11 ans
Vendredi 26 avril 2013 / Création
au Théâtre QUARTO à Unieux (42)
chorégraphie / scénographie / création sonore Mathieu HEYRAUD
avec Pauline LAIDET et Mathieu HEYRAUD
Création lumière / photographie Elsa JABRIN
Un homme, une femme - une théâtralité en soi.
Pourtant ni prince ni princesse. Les contes de ma mère l’oie, Ravel et ses entretiens de la belle et de la bête comme seuls décors sonores. Enumérations de vos bonnes raisons d’être ici parmi nous, et puzzles de corps qui complètent un espace, celui qui sépare l’interprète de son chorégraphe, celui qui sépare la parole du geste, celui qui relie l’un à l’autre.
Cohabitation. Absurde fil de la pensée, divagation. Qui sont-ils l’un pour l’autre ? D’ailleurs sont-ils là l’un pour l’autre ?
Une variation de plus sur notre rapport à la gravité, rendre sensible les corps au poids et à la chute, moteurs du mouvement et surtout à ce que cela communique au-delà des mots en osant une abstraction théâtrale qui ne peut pas se comprendre par le discours mais se ressentir. Simplement. Se laisser envahir par la sensation, le rythme, les dissonances et les unissons. Oser devenir un spectateur-acteur qui recrée les ponts entre ces deux corps, qui invente tous les petits bouts manquants.
Il y a tout ce qui se raconte et puis le reste
au Théâtre QUARTO à Unieux (42)
chorégraphie / scénographie / création sonore Mathieu HEYRAUD
avec Pauline LAIDET et Mathieu HEYRAUD
Création lumière / photographie Elsa JABRIN
Un homme, une femme - une théâtralité en soi.
Pourtant ni prince ni princesse. Les contes de ma mère l’oie, Ravel et ses entretiens de la belle et de la bête comme seuls décors sonores. Enumérations de vos bonnes raisons d’être ici parmi nous, et puzzles de corps qui complètent un espace, celui qui sépare l’interprète de son chorégraphe, celui qui sépare la parole du geste, celui qui relie l’un à l’autre.
Cohabitation. Absurde fil de la pensée, divagation. Qui sont-ils l’un pour l’autre ? D’ailleurs sont-ils là l’un pour l’autre ?
Une variation de plus sur notre rapport à la gravité, rendre sensible les corps au poids et à la chute, moteurs du mouvement et surtout à ce que cela communique au-delà des mots en osant une abstraction théâtrale qui ne peut pas se comprendre par le discours mais se ressentir. Simplement. Se laisser envahir par la sensation, le rythme, les dissonances et les unissons. Oser devenir un spectateur-acteur qui recrée les ponts entre ces deux corps, qui invente tous les petits bouts manquants.
Il y a tout ce qui se raconte et puis le reste